Promo! KING & COUNTRY - OFFICIER ALLEMAND 39/45 - ADOLF HITLER Agrandir l'image

KING & COUNTRY - EO OFFICIER ALLEMAND 39/45 - ADOLF HITLER

4428

Nouveau

KING & COUNTRY - EO OFFICIER ALLEMAND 39/45 - ADOLF HITLER - SECONDE GUERRE MONDIALE - SOLDAT PLOMB  1/32   REF LAH044   Ht 65 mm    POIDS : 64.90 g

Plus de détails

Ce produit n'est plus en stock

25,00 €

En savoir plus

KING & COUNTRY - EO OFFICIER ALLEMAND 39/45 - ADOLF HITLER - SECONDE GUERRE MONDIALE - SOLDAT PLOMB  1/32   REF LAH044   Ht 65 mm    POIDS : 64.90 g    Selon Le Robert des noms propres, « Hitler » est une variante de « Hüttler », de l'allemand Hüttle signifiant « petite cabane » ( peut avoir désigné un homme vivant près d'une cabane ; en Bavière, désignait un charpentier ). Hitler porte le nom du beau-père de son père Alois, Johann Georg Hiedler (sous une orthographe différente, mais la prononciation est très proche). Ce dernier a épousé la grand-mère de Hitler, Maria Anna Schicklgruber, après la naissance d'Alois, sans que l'on sache s'il en était le père. Alois a été déclaré à l'état civil sous le nom de sa mère, avec la mention fils illégitime, et a adopté plus tard le nom de son beau-père, sous la forme Hitler. Hitler fut baptisé Adolphus Hitler. Au XIXe siècle, Adolf est un prénom fréquent dans les pays germanophones et scandinaves. Selon la fiche signalétique établie par les renseignements français en 1924, le second prénom de Hitler serait Jakob ( Jacques, en allemand ), mais cette fiche contient diverses erreurs grossières, dont la date et le lieu de naissance de Hitler, et rien ne corrobore la thèse d'un second prénom8. Écouter est un idéologue et homme d'État allemand, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn en Autriche-Hongrie (aujourd'hui en Autriche et toujours ville-frontière avec l’Allemagne) et mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin. Fondateur et figure centrale du nazisme, il prend le pouvoir en Allemagne en 1933 et instaure une dictature totalitaire, impérialiste, antisémite et raciste désignée sous le nom de Troisième Reich. Membre du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP, le parti nazi), il s'impose à la tête du mouvement en 1921 et tente en 1923 un coup d'État qui échoue. Il met à profit sa courte peine de prison pour rédiger le livre Mein Kampf dans lequel il expose ses conceptions racistes et ultranationalistes. Dans les années 1920, dans un climat de violence politique, il occupe une place croissante dans la vie publique allemande jusqu'à devenir chancelier le 30 janvier 1933, en pleine Grande Dépression. Son régime met très rapidement en place les premiers camps de concentration destinés à la répression des opposants politiques (notamment socialistes, communistes et syndicalistes). En août 1934, après une violente opération d’élimination physique d’opposants et rivaux — connue sous le nom de nuit des Longs Couteaux — et la mort du vieux maréchal Hindenburg, président du Reich, il se fait plébisciter chef de l'État. Il porte dès lors le double titre de « Führer » (en français : « guide ») et « chancelier du Reich », sabordant ainsi la république de Weimar et mettant fin à la première démocratie parlementaire en Allemagne. La politique qu'il conduit est pangermaniste, antisémite, revanchiste et belliqueuse. Son régime adopte en 1935 une législation anti-juive et les nazis prennent le contrôle de la société allemande ( travailleurs, jeunesse, médias et cinéma, industrie, sciences, etc. ). L'expansionnisme du régime est l'élément déclencheur du volet européen de la Seconde Guerre mondiale. L'Allemagne connaît d'abord une période de victoires militaires et occupe la majeure partie de l'Europe, mais elle est ensuite repoussée sur tous les fronts, puis envahie par les Alliés : à l'Est par les Soviétiques et à l'Ouest par les Anglo-Américains et leurs alliés, dont des forces issues des pays occupés par l'Allemagne. Au terme d'une guerre totale ayant atteint des sommets de destruction et de barbarie, Hitler, terré dans son bunker, se suicide alors que Berlin en ruines est investie par les troupes soviétiques. Le Troisième Reich, qui, selon Hitler, devait durer « mille ans », n'en dura que douze mais a provoqué dans ce laps de temps la mort de millions de personnes et la destruction d'une grande partie des villes et des infrastructures en Europe. L'ampleur sans précédent des massacres comme le génocide des Juifs européens — mené au travers des actions des Einsatzgruppen ou de la mise en œuvre des camps d'extermination — et des Tziganes ; la mort par la faim de millions de civils soviétiques ; l'assassinat des personnes handicapées ; les innombrables exactions contre les populations civiles ; le traitement inhumain des prisonniers de guerre soviétiques ; les destructions et les pillages dont il est responsable tout comme le racisme radical singularisant sa doctrine et la barbarie des sévices infligés à ses victimes valent à Hitler d'être jugé de manière particulièrement négative par l'historiographie et la mémoire collective. Sa personne et son nom sont considérés comme des symboles du mal absolu.