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CORGI JAGUAR TYPE E CABRIOLET 1/43

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CORGI JAGUAR TYPE E CABRIOLET    1/43       DIM : 105 mm   POIDS : 91 g   avec la boite

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CORGI JAGUAR TYPE E CABRIOLET    1/43       DIM : 105 mm   POIDS : 91 g   avec la boite     La Jaguar Type E (« Jaguar E-Type » au Royaume-Uni et « Jaguar XK-E » aux États-Unis) est une voiture de sport fabriquée par le constructeur automobile britannique Jaguar dans les années 1960 et 1970. Présentée au Salon international de l'automobile de Genève de 1961, elle succède à la série des XK. La production s’étend de 1961 à 1975 et se décline en trois modèles (cabriolet, coupé et 2+2), trois séries et deux éditions limitées. La Type E, bien que rappelant la Jaguar Type D du point de vue de sa ligne, est pour l'époque d’une conception très moderne. C'est l'aérodynamicien Malcolm Sayer qui la dessina, sous le contrôle de William Lyons. Les évolutions et les modifications seront nombreuses tout au long de la vie du modèle, pour améliorer les performances, la sécurité, le confort, ou encore pour des questions de réglementation, particulièrement aux États-Unis, son principal marché. L'abandon du moteur six-cylindres en ligne en 1971 au profit d'un inédit moteur V12 Jaguar constitue l'une des modifications majeures. En 1975, la Type E laisse la place à la XJS, moins sportive et moins chère à construire parce que fondée sur la plateforme XJ. 72 584 exemplaires de Type E seront produits1, constituant ainsi l’un des plus grands succès commerciaux de Jaguar. Son allure et ses performances, qui la distinguaient des autres voitures du même segment, en ont fait aujourd’hui un mythe automobile symbolisant les Swinging Sixties. Elle est dévoilée au public le 15 mars 1961 à l'hôtel-restaurant du parc des Eaux-Vives, le long du lac Léman, la veille du salon de l'auto de Genève. La Type E est conçue au départ comme une auto de compétition, évolution des D Type, elle est plus légère et équipée d'un moteur six-cylindres de 2,4 L développant 200 ch. Son nom était E Type A1, le « A » pour caisse en aluminium. Trois prototypes furent dessinés par Malcolm Sayer, en 1957 et 1958. L'usine en décida la commercialisation en 1959 avec une version en acier plus « Grand Tourisme », la E. Ces modèles seront toujours beaucoup moins chers que leurs concurrents de l'époque (Ferrari, Aston Martin…). Jamais une voiture de sport n'avait été tout à la fois aussi bon marché et rapide[réf. nécessaire]. La vitesse maximum annoncée était de 240 km/h (150 mph) pour le modèle « presse ». La Type E, d'une ligne rappelant la D Type, n'était pas d'une conception complètement nouvelle : caisse autoporteuse monocoque avec un faux châssis en tubes carrés Reynolds à l'avant, c'était exactement le schéma des fameuses D de course. Quatre roues indépendantes, quatre freins à disques, une toute nouvelle suspension arrière dotée de quatre amortisseurs télescopiques avec ressorts intégrés et freins montés inboard contre le différentiel, le tout monté dans un berceau séparé. La Type E est une voiture compliquée, coûteuse à entretenir du fait de sa conception, mais elle offre des performances et une tenue de route inégalées pour son époque. Son système de suspension arrière a été utilisé sur beaucoup de Jaguar, des Type S aux XJ en passant par la XJS. En 1961, ce fut un engouement extraordinaire dès qu'elle fut exposée dans les salons. Les vedettes et personnalités de l'époque l'achetèrent immédiatement. Le coupé rassemble un interminable capot avec bossage central, un hayon arrière à ouverture latérale et un vaste espace pour les bagages, alors que le cabriolet dispose d'un coffre « symbolique ». Très rapidement un coupé 2+2 est ajouté à la gamme, avec deux petites places à l’arrière qui en faisaient presque une voiture familiale et qui pouvait être acheté avec une boite automatique (influence du marché américain). Il faut savoir que depuis longtemps 80 % de la production était vendue aux États-Unis. Sur le plan sportif elle eut une carrière en retrait pour les modèles de série, lesquels n'étaient pas assez légers, face en particulier aux Ferrari 250 GT. L'usine construisit alors les fameuses « Lightweight », au nombre de douze seulement, avec une carrosserie et un bloc moteur en aluminium, très rapides mais accumulant des soucis de fiabilité à cause des moteurs qui ne tenaient pas. L'usine rectifia le tir en remettant en service les blocs fonte préparés pour développer 300 ch. Souvent engagée dans des courses au Royaume-Uni où elle accumule au fil des ans un bon palmarès, elle participera aussi au Tour de France automobile après le retrait des MK2, et elle obtient le titre australien GT (en) en 1963 avec Bob Jane. La même année, Graham Hill remporte plusieurs épreuves nationales GT à son volant, et entre 1963 et 1964 Peter Lindner la fait encore participer au DARM, glanant quelques coupes supplémentaires. En décembre 1963, Hans Schenk gagne successivement le Trophée du Gouverneur et la Coupe des Bahamas. Entre 1964 et 1965, Peter Sutcliffe s'impose notamment au Prix de Paris GT, et Brian Redman aura même parfois l'occasion de la piloter. De nos jours, les Types E engagées en VHC en France et en course sur circuit au Royaume-Uni et aux États-Unis sont devenues, avec des préparations poussées (340 ch), bien plus performantes, obtenant ainsi toujours plus de trophées. Le moteur reconnu comme étant le plus performant et efficace est le 3,8 L